Cafe racer festival 2018

Après 3 éditions en solitaire, il était temps de partager cette émotion avec la bande.

2018 coïncidant avec une quarantaine d'années à fêter, cette édition devait être spéciale. Structurée. Familiale. Emouvante !

C'est donc parti, 3 acolytes pilotes furent faciles à convaincre. B, JF et N se sont rapidement engagé. Surtout N, qui sans moto ne prenait pas trop de risque (sinon celui de ne pas réussir à s'en faire prêter une...). Une super copine aidait à la logistique avec un hébergement top confort pour une soirée conviviale le samedi, quand femmes et enfants pouvaient enfin s'éloigner de ces moteurs vraiment, vraiment bruyants... Merci à elle et à ses parents qui nous ont -presque- supportés.

Un gros camion rempli de nourriture, tente, salon de jardin... et accessoirement 3 motos, des outils, poubelle d'eau pour maintenir les bières au frais, on était bon.

Et de la PLV, affiches, pour mettre en avant l'association Cerhom, la fin du cancer, le début de l'homme, dont le président et le trésorier sont venus vivre la journée du samedi avec nous.   www.cerhom.fr

Les souvenirs sont nombreux, alors s'il fallait en choisir quelques uns :

-sans aucun doute été le blocage du câble d'accélérateur (à fond!) de la guzzi, avec pour conséquence la surchauffe de l'embrayage et un retour à la poussette. Immortalisé dans le magazine Cafe Racer, le seul crabes cramés qui y figurera !

-l'arrivée de JF le vendredi soir depuis Aix en Provence, en camion, femmes et enfants auront préféré le train !

-la popularité du T350 dans son vilain jus orange. On l'adore, et tout le monde nous l'a bien rendu, il n'y en avait que pour lui à Montlhéry, les autres motos n'auront pas beaucoup attiré de regards !!

-la baston avec les RDLC 350. Bon sang, qu'ils tournaient bien ces engins...

-N qui tente d'attraper le guidon du Four. Mince, ils sont si loin les bracelets ??

-Evidemment, l'ambiance sur place, les machines, les sons, les expos... Bien qu'on regrette le coté business qui prend le pas sur les passionnés en cambouis venus exploser leur zone rouge, il n'en demeure pas moins qu'une fois en selle, on oublie tout le reste.

Assez discuté, vous voulez des images ?